Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

JuniorBaby

JuniorBaby
21 mars 2013

Foot - Transferts PSG ou Chelsea pour Mourinho ?

Jos_Mor

 

L'entraîneur portugais du Real Madrid José Mourinho ne serait focalisé que sur deux clubs pour la suite de sa carrière : le PSG et Chelsea.Proche d'un départ cet été du Real Madrid, seulement 3e de Liga avec seize points de retard sur Barcelone, José Mourinho songerait uniquement à deux destinations possibles à en croire le Sunday Times. Résultat : Chelsea et le PSG seraient dans le viseur du technicien portugais en vue de la saison prochaine. Mourinho a évoqué l'hypothèse d'un retour à la tête des Blues, qu'il a entraîné de 2004 à 2007, avec Roman Abramovitch, le président du club londonien avec lequel ses relations se sont améliorées.Concernant le club de la capitale, "The Special One" pourrait étendre son record à cinq titres dans cinq Championnats différents après avoir connu le succès au Portugal (FC Porto), en Angleterre (Chelsea), en Italie (Inter Milan) et en Espagne (Real Madrid). Succéder à Carlo Ancelotti lui permettrait également de rester proche de sa famille, attendue à Londres cet été.En revanche, Mourinho aurait mis de côté un départ pour Manchester City qui lui bloquerait instantanément les portes de Manchester United, où il rêve toujours remplacer Alex Ferguson dans quelques années.

Publicité
21 mars 2013

Equipe de France: «On ne va pas me forcer à chanter La Marseillaise», assure Karim Benzema

BenzemaBenz

FOOTBALL – L’attaquant des Bleus explique pourquoi il ne chante pas l’hymne national…

Vendredi soir, aux moments des hymnes nationaux, avant le match contre la Géorgie, vous n'entendrez pas la douce voix de Karim Benzema. L'attaquant des Bleus l'assure à RMC: «On ne va pas me forcer à chanter La Marseillaise». Dans un entretien qui sera diffusé en intégralité mardi entre 16h et 18h dans Luis Attaque, Benzema explique son choix. «Je ne l'ai jamais chantée. Et ce n'est pas parce que je vais la chanter que je vais mettre un triplé derrière».

Pour lui, le souci vient de son efficacité du moment avec l'équipe de France (il n'a plus marqué en bleu depuis juin 2012). «Si je ne chante pas La Marseillaise, que le match commence et que je mets trois buts, je ne pense pas qu'on va dire à la fin du match que je n'ai pas chanté La Marseillaise. C'est ça le souci, c'est parce que ça fait un moment que je n'ai pas marqué en équipe de France. Ca n'a rien à voir avec ce que j'ai entendu, comme quoi je n'aime pas l'équipe de France. Il faut se calmer. J'aime bien l'équipe de France.»

D'ailleurs, ce n'est pas le premier à ne pas entonner l'hymne avant une rencontre. «Zidane, par exemple, ne chantait pas forcément La Marseillaise. Et il y en a d'autres. Je ne vois pas où est le problème. Il y a même des supporters qui ne la chantent pas», poursuit le Madrilène. Et à eux, on ne leur demande pas de marquer des buts.

20 mars 2013

La lettre émouvante d'un père à son fils après avoir découvert son homosexualité

Une lettre d'un père à son fils gay devrait inspirer plus d'un parent dont les enfants sont homosexuels. La marque américaine FCKH8 a aussitôt vanté la lettre comme un exemple de tolérance tant elle est encourageante.

Un père a écrit une lettre pleine d'amour à son fils après avoir surpris une conversation téléphonique au cours de laquelle il a découvert son homosexualité. La lettre a été publiée par la marque californienne FCKH8, qui se bat au quotidien pour les droits des homosexuels et notamment pour le mariage gay, relaie Gawker.

La lettre d'un père à son fils homosexuel

La lettre apporte en effet au jeune Nate tout le soutien dont il avait tant besoin pour s'affirmer. "Nate, je t'ai surpris la nuit dernière au téléphone avec Mike. Tu angoissais à l'idée de faire ton coming out", a commencé la père de Nate. "La seule chose dont j'aimerais que tu te soucies à présent c'est d'apporter le jus d'orange et le pain après l'école", a-t-il poursuivi. "Je sais que tu es gay depuis tes six ans et je t'aime depuis que tu es né", a-t-il conclu. Après avoir signé "Papa", il ajoute post scriptum "ta mère et moi on trouve que Mike et toi faites un joli couple".

Les parents de Nate ne veulent pas en faire "toute une histoire" 

C'est Nate qui a envoyé la lettre à FCKH8. La marque californienne décrit Nate comme "un adolescent... qui est fan de notre Facebook" mais qui n'a pas souhaité en dire plus. Avant de publier la lettre, le prénom du père de Nate a en fait été effacé. La famille de l'adolescent souhaite en effet rester discrets pour ne pas en faire "toute une histoire". Or, la lettre s'est répandue comme un traînée de poudre sur le web ce qui a tout de suite interpellé les médias.

La lettre du père de Nate comme un exemple de tolérance 

FCKH8 a alors profité de la popularité de la lettre pour publier cette brève déclaration. "Nous espérons que la lettre donne (...)

20 mars 2013

RDC: recherché par la CPI, le rebelle Ntaganda est à l'ambassade américaine de Kigali

Le général rebelle de République démocratique du Congo (RDC), Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité, se trouvait lundi à l'ambassade américaine au Rwanda, après avoir fui l'est de la RDC, ont annoncé Kigali et Washington.

Le Département d'Etat a confirmé lundi soir à Washington que M. Ntaganda était arrivé dans la matinée à la représentation américaine dans la capitale rwandaise et "avait demandé son transfert à la CPI à la Haye".

"Nous venons d'apprendre que le général Bosco Ntaganda s'était présenté à l'ambassade américaine à Kigali tôt ce (lundi) matin", avait auparavant fait savoir la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, dans un communiqué officiel.

"Le gouvernement du Rwanda est en train de rechercher de plus amples détails sur cette situation en constante évolution", avait indiqué simplement le ministère dans ce texte.

Bosco Ntaganda, chef d'état-major de la rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) est devenu général dans l'armée de RDC, après un accord de paix signé le 23 mars 2009 avec Kinshasa.

Il a de nouveau fait défection au printemps 2012 et est depuis accusé par de nombreux experts de jouer un rôle de premier plan au sein de la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), lancée en mai 2012 dans l'est congolais et formée en grande partie d'ex-membres du CNDP dénonçant la non-application de l'accord de paix.

Le M23, qui a toujours réfuté l'implication de Bosco Ntaganda au sein du mouvement, s'est scindée fin février en deux factions rivales qui se sont affrontées dans l'est de la RDC.

Kinshasa avait affirmé dimanche que Bosco Ntaganda avait franchi la frontière entre l'est de la RDC et le Rwanda, dans la foulée de centaines de combattants de la faction qu'il est accusé de diriger, mise en déroute.

Bosco Ntaganda fait l'objet depuis 2006 de deux mandats d'arrêts de la CPI pour des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre, notamment l'enrôlement d'enfants-soldats et des viols, commis dans les régions de l'Ituri (nord-est de la RDC) et du Kivu (est) au début des années 2000. Réputé sans pitié, il est surnommé "Terminator".

Ni le Rwanda, ni les Etats-Unis ne sont signataires du Statut de Rome, traité fondateur de la CPI. En conséquence, aucun de ces deux pays n'ont obligation de transférer Bosco Ntaganda à la CPI, basée à La Haye (Pays-Bas).

"La CPI cherche à confirmer auprès des autorités compétentes l'information selon laquelle Bosco Ntaganda se trouverait à l'ambassade américaine à Kigali", avait indiqué lundi soir à La Haye Fadi el-Abdallah, porte-parole de la CPI, interrogé par l'AFP.

"Si cette information est confirmée, la Cour prendra les dispositions nécessaires en vue du transfert de M. Ntaganda à La Haye", avait ajouté M. El-Abdallah. "Rien n'empêche un Etat qui n'est pas partie au Statut de Rome de coopérer avec la Cour sur une base volontaire", avait-il souligné.

Kigali a récemment été accusé par des experts de l'ONU, malgré ses dénégations, de soutenir le M23. Le Rwanda comme 10 autres pays de la région, a paraphé fin février un accord-cadre régional destiné à ramener la paix dans l'est RDC, dont les signataires s'engagent à ne pas accueillir d'individus recherchés par la justice internationale.

Mi-novembre 2012, le M23 avait occupé une dizaine de jours la ville de Goma, capitale de la province riche et instable du Nord-Kivu, avant d'accepter une médiation diplomatique régionale dirigée par l'Ouganda, qui a jusqu'ici peu progressé et dont la reprise était prévue d'ici une semaine, selon Kampala.

En novembre, la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, avait estimé que Bosco Ntaganda était l'un des "principaux instigateurs de l’instabilité qui prévaut sur l'ensemble de la région des Grands Lacs" et qu'il fallait l'arrêter "impérativement".

BoscoKinHaye

 

 

20 mars 2013

Les photos de la semaine

554941_487097748016188_1866379625_nRizzojunior

Me and youAbrAbramsRizz

Jun kaziniRubin

 

Publicité
20 mars 2013

Campus numérique francophone partenaire de Bukavu UCdB

IDENTIFICATION

Imprimer

Campus numérique francophone partenaire de Bukavu UCdB

Pays: République démocratique du Congo (CD)
Région: Afrique centrale et des Grands-Lacs (ACGL)

ADRESSE POSTALE

Institut supérieur pédagogique
Avenue Kibombo
Bukavu
République démocratique du Congo (CD)

ADRESSE PHYSIQUE

Institut supérieur pédagogique
Avenue Kibombo
Bukavu
République démocratique du Congo (CD)

COORDONNÉES

Téléphone:
Courriel: afrique-centrale-grands-lacs@auf.org
Courriel interne: vdd_kandida1@yahoo.fr

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

Date d'inauguration: 15 octobre 2012

20 mars 2013

Burundi: vaste incendie au marché central de Bujumbura

Un incendie s'est déclenché, ce dimanche 27 janvier au matin, aux abords du marché central de Bujumbura au Burundi. Il n'est pas encore possible de dire si ce sinistre est d'origine criminel ou accidentel. Des pillages semblent avoir eu lieu. L'armée et les services de sécurité sont présents sur place.

Le marché central de Bujumbura en feu : Pierre Nkurunziza appelle à la solidarité nationale

Par La Rédaction
dimanche 27 janvier 2013         à 07 : 19 : 56

Depuis tôt ce matin, un gigantesque incendie s’est déclaré au marché central de Bujumbura. Iwacu vous propose l’essentiel de l’actualité sur le sujet ...

21h15
- Tous les accès menant vers le marché central sont fermés, le périmètre à 100 mètres autour de la place étant gardé par l’armée nationale déployée en renfort dans le centre de la capitale
- Une mince fumée flotte encore dans l’air même si les flammes sont complètement éteintes dans ce qui reste du marché
- Dans les hôpitaux, les victimes du désastre ont été accueillies et gratuitement soignées. Certaines sources affirment que les premiers corps devraient être retirés des cendres du marché d’un moment à l’autre.
On ne sait toujours pas le bilan humain et matériel (on parle de plusieurs milliards de Fbu) de l’incendie, ni sa cause.

17h15

JPEG - 89.9 ko
Le président de la République, l’Ombudsman et le ministre de la Sécurité devant les ruines du marché de Bujumbura ©Iwacu

Le président de la République, qui est rentré en catastrophe d’Addis-Abeba a exprimé sa vive solidarité à toutes les familles qui ont perdu leurs biens dans l’incendie du marché : "C’est un malheur qui frappe le Burundi tout entier, pas seulement ceux qui y vendaient ou qui y achetaient des produits."
Après un tour du marché par l’aile ouest puis sud, Pierre Nkurunziza a annoncé une réunion urgente et exceptionnelle du Conseil national de sécurité dans laquelle "seront analysées les causes de l’incendie et les réponses appropriées à apporter pour qu’un évènement pareil ne se reproduise plus au Burundi."
Par ailleurs, un fond de solidarité nationale devrait voir le jour, a souligné le numéro un burundais, accompagné notamment de son épouse, de l’Ombudsman et du ministre en charge de la Sécurité Publique.

16h40
Dans une déclaration qu’ils viennent de rendre public, les députés et sénateurs élus dans la circonscription de la mairie de Bujumbura expriment ce qui suit :
- Ils compatissent et se sentent solidaires des commerçants qui viennent de perdre tous leurs biens dans cet incendie, mais des familles des victimes et tout le Burundi en général
- Ils demandent aux banques partenaires de ces commerçants de les soutenir dans ces moments de dures épreuves
- Ils demandent également au Syndicat général des commerçants (Sygeco) de rester au côté des commerçants victimes de la catastrophe
- Ils mettent en garde les commerçants des autres marchés de la ville de Bujumbura de ne pas spéculer sur les conséquences de la catastrophe en haussant les prix à leur gré
- Enfin, ils sollicitent l’implication de la police pour mener les enquêtes dans les plus brefs délais afin de mettre la lumière sur les causes du drame

16h10
- Sous l’action de l’hélicoptère rwandais, la fumée a baissé d’intensité alors que l’engin déverse encore et encore de l’eau sur les restes du marché

JPEG - 52.9 ko
L’hélicoptère rwandais en action au dessus du marché central de Bujumbura ©JCNahayo

15h30
- 

JPEG - 80.7 ko
Pour éviter des tentatives de déstabilisation de la sécurité, les militaires de la FDN patrouillent autour du marché et dans la capitale ©Iwacu

14h40
- Des policiers auteurs de pillages ? Commentaire de D.L., qui commente depuis ce matin l’incendie notamment sur Facebok : "Bon je sais que la police burundaise a ses défauts ... Et aujourd’hui la police anti-incendie a plus qu’été décevante ! Mais je suis resté au marché pendant plusieurs heures depuis tôt ce matin. J’ai fait le tout du marché en feu mais franchement je n’ai pas vu de policiers piller. Par contre j’en ai vu beaucoup éviter les pillages ou les vols ! Et s’il n’avait été ces policiers, je crois qu’on aurait vu des scènes horribles où les gens se seraient entretués, tant les gens étaient à cran. S’il vous plaît, à moins que ce ne soit vraiment avéré de manière irréfutable, arrêtons de diaboliser gratuitement la police nationale du Burundi !"

14h15
- Juste pour rappel :
→ en janvier 2012, Iwacu titrait La sécurité anti-incendie laisse à désirer dans nos marchés
→ puis, un mois plut tard, lançait une alerte : Assurance incendie : le moindre des soucis des Burundais
→ depuis, silence : le ntacoïsme se coulait de beaux jours en la matière (et même ailleurs)

13h44
- Une vue qui résume la situation à 13h40

JPEG - 46.3 ko
Des hauteurs de Kiriri, on peut constater le drame qui se joue depuis tôt ce matin ©DNimbona

13h30
- Un hélicoptère rwandais est à l’oeuvre au dessus du marché pour éviter que le feu ne se propage autour en déversant de l’eau sur les foyers de l’incendie
- Une heure plutôt, le Premier vice-président de la République qui animait une conférence de presse exceptionnelle, avait appelé les pays de l’EAC à l’aide, avant d’annoncer une commission nationale qui "présidera aux enquêtes et veillera aux mesures d’urgence à prendre pour réorganiser la vie économique après cette catastrophe"

13h15
- "Le président de la République vient de suspendre sa participation au Sommet des Chefs d’Etat de l’Union Africaine à Addis-Abeba et est en route vers Bujumbura, suite à l’incendie qui a ravagé le marché central de Bujumbura" annonce la Présidence.

12h45
- La question qui reste sur toutes les lèvres est : mais quelle est l’origine de ce feu ?
Un acte terroriste ? Un court-circuit, comme cela a été le cas pour les kiosques à chaussures à quelques mètres de là ou au marché de Kamenge ?
Les témoignages sur place font plutôt état d’un feu qui aurait commencé dans la partie centrale du marché, "là où on repasse les habits venus des tailleurs", précise un commerçant qui affirme que "la fumée s’élevait du marché dès avant 6h du matin."
Une piste à explorer d’autant plus que "la fumée originelle que j’ai vu de la Gare du Nord vers 7h moins s’élevait en fait du centre du marché", nous précise notre correspondant sur place.

11h15
- Alors qu’une épaisse fumée plane au dessus du marché en feu, autour du marché on voit des militaires prendre position. Par groupe de trois, armés, les militaires sont postés dans plusieurs coins. Sûrement pour décourager les pillards.
Dans les rues près du marché, des gens transportent quelques biens dans les taxis, sur la tête, sur des vélos, comme on peut. Commerçants ? Pillards ? Personne ne peut le dire. Les gens semblent résignés. Aucun cri. Tout le monde semble dépassé.
- Le bilan humain reste à 11 h 10 inconnu. Il est en effet impossible d’entrer dans le marché central qui brûle toujours. Une femme s’est jetée dans le brasier. Il pourrait y avoir plusieurs victimes.

10h26
- Devant la densité de la foule, la police tente de refouler les habitants de la capitale venus par dizaines de milliers suivre l’évolution de l’incendie (la foule va jusqu’à la place de l’Indépendance) alors que la fumée est visible à une dizaine de kilomètres à la ronde.
Pour la police, l’objectif est de vider le parking des bus vers le nord de Bujumbura, alors que le feu s’approche dangereusement du siège de la Sogemac attendant : "Les bouteilles de liqueurs alcoolisées vendues près de la place explosent continuellement", commente notre correspondant
- Sous les hurlements des sirènes des ambulances, on assiste à des évacuations de dames évanouis, et dont l’essentiel des revenus familiaux résidaient dans le commerce au marché central.

10h25
- Une foule immense est présente tout autour du marché central de Bujumbura (dont l’incendie est le sujet en boucle sur tous les médias locaux) dans un désordre indescriptible. Parmi elle, l’Ombudsman, le Maire de la Ville de Bujumbura, l’administrateur communal de Rohero, tout le conseil d’administration de la Sogemac ou encore le président de l’Assemblée Nationale
- La police de secours évacue une personne brûlée de l’intérieur du marché : "Ceux qui sont morts tentaient selon plusieurs sources de sauver les galons d’huile qu’ils vendaient", rapporte notre correspondant
- La police tente de limiter l’incendie à l’ouest du marché, pour que le feu n’aille vers le Rusca Plaza. Remarquez que sur la photo en bas, les policiers qui font office de pompiers n’ont pas de tenue de protection antithermique appropriée

JPEG - 89.5 ko
La police tente de limiter l’incendie à l’ouest du marché, pour que le feu n’aille vers le Rusca Plaza ¢Iwacu

10h10
- Sur place, les correspondants d’Iwacu annoncent la présence du 1er vice-président de la République Thérence Sinunguruza, le porte-parole principal du président de la République, Léonidas Hatungimana ainsi que le porte-parole de l’armée nationale, le Colonel Gaspard Baratuza

10h02
- Le Président de la République du Burundi, à Addis-Abeba pour le sommet de l’Union africaine "regrette profondément l’incendie survenue au marché central de Bujumbura. Il demande à tous les services habiletés à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour limiter les dégâts, et surtout, déterminer l’origine de cet incendie."

9h50
- "Tout l’intérieur du marché est en fumée : la toiture s’est effondrée, les barres de fer ont fondu face à la violence de l’incendie", nous précise notre correspondant
- En fait, il s’avère que face à l’incapacité à contenir le feu, les pompiers se sont postés principalement autour des deux stations de pompe à carburant, l’une au nord-est du marché (de l’autre côté du Grenier du Burundi, l’autre au sud du marché devant le siège de la Mutec)
- Pour le moment, la police de secours, aidée par la population, tente de circonscrire le feu au parking sud du marché, pour que l’incendie n’arrive pas de l’autre côté de la rue et prenne la BNDE, les kiosques autour (qui vendent notamment de l’huile et des pneus)

9h05
- Juste deux photos qui résument la situation

JPEG - 27.8 ko
Une photo qui résume l’ambiance autour du marché central de Bujumbura (prise à partir du côté nord de la place) ©B.Nkomerwa
JPEG - 20 ko
A quelques mètres du siège de la Banque Commerciale du Burundi (BCB), une épaisse fumée s’élève dans le ciel ©C.T

8h50
- "Les pompiers ont pu arrêter le feu dans la partie est du marché où l’on y trouve des étals de poissons et viandes", nous rapporte notre correspondant.
A noter que cette partie du marché donnait, à quelques dizaines de mètres plus loin, sur une station de pompe à carburant
- Selon les premières approximations, "plus de 90% du marché sont partis en cendres"

JPEG - 91.5 ko
C’est le sauve-qui-peut pour les commerçants qui le peuvent ¢Iwacu

8h40
- "En fait, tous les biens du marché central ont été emportés par le feu", nous résume un correspondant d’Iwacu sur place
- Des témoignages font état de personnes mortes à l’intérieur du vaste hangar du marché, "sûrement des commerçants en détresse qui tentaient de sauver leurs biens" rapporte des sources sur place
- Scènes de tentatives de pillage des kiosques du pourtour du marché : des dizaines de personnes ont été arrêtées par des agents de la police travaillant avec la Sogemac (Société de Gestion du Marché Central)
- Deux camions à citernes des pompiers sont sur la place mais n’ont rien pu faire

JPEG - 89.6 ko
Tout le monde semble impuissant face à la force du feu ¢Iwacu

8h25
- Le plus grand marché du Burundi est en feu depuis un peu plus de 6h30 ce matin
- L’incendie progresse : le rayon des habits et souliers au centre de la place est complètement entamé, et le feu avance vers l’entrée nord qui donne sur le parkings des bus vers les quartiers nord de la capitale
- Jusqu’à présent, les raisons de cette incendie sont inconnues
- Scènes de panique autour du marché alors que les commerçants, pour la plupart non-assurés, ne peuvent pas entrer dans la fournaise pour récupérer leurs bien

 

Publicité
<< < 1 2 3 4
JuniorBaby
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 5 960
Newsletter
Derniers commentaires
Publicité